Je ne sais plus exactement quand est née cette évidence, qu’en utilisant les justes mesures, celles des rapports mathématiques (Phi, Pi etc…) ayant toujours existés d’aussi longtemps que l’on puisse remonter, quelques soient les civilisations ou les continents, en les associant aux justes couleurs, lignes et perspectives, il apparaitrait comme un langage, une compréhension, un savoir…

Mon envie de recherches, d’apprendre d’avantage sur tout ce qui a été découvert des mathématiques, des symboliques, du rapport entre les deux, et sur les possibilités qu’elles ouvrent, a pris corps.

New York, une sorte de paradoxe, m’a offert l’écrin, à la fois  de retraite au calme de ma vie, tout autant qu’un bouillonnement d’informations (en anglais j’ai trouvé beaucoup de savoirs), cette énergie en mouvement qui me mènent toujours à une dynamique créatrice.

C’est à New York aussi qu’a été exposé mon premier grand tableau en Phi, en géométrie sacrée, « Equilibre/Balance», à Flushing NY, puis le second, puis le troisième au National Arts Club de Gramercy Park à Manhattan New York.

Et c’est encore à New York, au NAC, à l’atelier de Janet Lippmann mon amie, cet atelier, lequel depuis plus de vingt ans est aussi devenu un peu le mien qu’a été créé le quatrième grand tableau «Le Carré Magique » en 16 carrés de 16,18cms en « Magic square » de 34.

Seul ce dernier n’a pas encore été exposé au Mémorial Chang Kai Shek de Taipei à Taiwan comme les précédents.